Eglise
La chapelle des Saints André et Jacques d’Horres, près de Millaures (Bardonecchia) est située au bord d’un pâturage, dans une position qui domine la splendide conca de Bardonecchia. Sa construction date probablement de la fin du XVe siècle, et elle est entièrement décorée, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur, par des cycles picturaux réalisés par des fresquistes qui travaillaient en même temps vers le XVIe siècle.
À l’extérieur, il y a une Calvacade des vices et des vertus, malheureusement en partie abimée, qui se superpose à la représentation des saints Pierre et André. Dans la scène de la cavalcade, les vices individuels sont joués par des hommes et des femmes à cheval sur des animaux symboliques et lié par le cou par une chaîne, qui sont poussés par une foule de démons dans la bouche du Léviathan, placé sur la gauche. L’intérieur, orné d’un beau chœur en bois, est presque entièrement décoré. La zone du presbytère abrite les scènes de la vie de saint André l’Apôtre, ainsi que les représentations d’une élégante Sainte-Lucie et d’un fragmentaire saint Antoine de Padoue, tandis que les voûtes de la salle de prière représentent les scènes de la vie et du martyre de Saint-Jacques, auquel s’ajoutent la représentation de la messe de Saint Grégoire et saint Georges tuant le dragon.
À l’extérieur, il y a une Calvacade des vices et des vertus, malheureusement en partie abimée, qui se superpose à la représentation des saints Pierre et André. Dans la scène de la cavalcade, les vices individuels sont joués par des hommes et des femmes à cheval sur des animaux symboliques et lié par le cou par une chaîne, qui sont poussés par une foule de démons dans la bouche du Léviathan, placé sur la gauche. L’intérieur, orné d’un beau chœur en bois, est presque entièrement décoré. La zone du presbytère abrite les scènes de la vie de saint André l’Apôtre, ainsi que les représentations d’une élégante Sainte-Lucie et d’un fragmentaire saint Antoine de Padoue, tandis que les voûtes de la salle de prière représentent les scènes de la vie et du martyre de Saint-Jacques, auquel s’ajoutent la représentation de la messe de Saint Grégoire et saint Georges tuant le dragon.
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